« Les cas de transmission dans tous les arrondissements sont en baisse, bien qu'ils soient relativement plus élevés à Meanchey et Por Sen Chey », a-t-il indiqué.
Khuong Sreng a attribué ce déclin à la campagne de vaccination de la capitale, qui s'est achevée le 8 juillet.
Jusqu'au 22 juillet, le Cambodge avait vacciné un total de 6,4 millions de personnes, soit 64% de sa population adulte, selon le ministère cambodgien de la Santé.
Le Royaume a enregistré jusqu'à présent 72 104 cas de contamination dont 1.254 décès et 64 548 patients guéris.Dans le même temps, l'Indonésie préparedavantage d'unités de soins intensifs (en anglais, intensive care unit ou ICU) après avoir enregistré plusieurs jours de décès record.Affrontant une
vague épidémique due au variant Delta, l'Indonésie est devenue l'épicentre du COVID-19 en Asie avec des hôpitaux saturés, en particulier sur l'île densément peuplée de Java.L'Indonésie, quatrième pays le plus peuplé au monde, a enregistré plus de 3,13 millions cas d'infection, dont 82.013 décès.
En Malaisie, Le Premier ministre Muhyiddin Yassin a appelé à l'unité pour surmonter la pandémie. Selon lui, les réalisations dans le cadre du Plan de relance national (PPN) pour permettre à la Malaisie de sortir de la crise sanitaire dépendront du soutien de toutes les parties, car il s'agit davantage d'une «approche nationale» que d'une «approche pan-gouvernementale».
Le Premier ministre malaisien a déclaré que le gouvernement avait canalisé une augmentation significative des dépenses vers le ministère de la Santé, plus de 70 milliards de ringgit (28 milliards de dollars) depuis mars 2020, pour gérer la pandémie, en particulier en augmentant les capacités du secteur de la santé publique.
Le 25 juillet, le nombre total d'infections en Malaisie s'est établi à 1 013 438.
