Au cours de la session, 43 députés ont rendu des avis, tandis que sept ministres et titulaires des ministères concernés ont clarifié des questions d'intérêt commun.
Les législateurs se sont concentrés sur les problèmes liés à l'autonomie financière des hôpitaux, au système de rémunération, aux frais d'examen et de traitement médical, à la violence scolaire et familiale, au manque d'enseignants dans les zones montagneuses et reculées.
Ils ont également apprécié la situation budgétaire, la transformation de la structure économique, la construction de logements sociaux, la gestion de projets d'investissement inefficaces, le renforcement de la discipline de la fonction publique et les politiques préférentielles en faveur des personnes aux mérites révolutionnaires.
Ils ont également proposé diverses solutions pour résoudre la pénurie de matériel médical, déployer la réforme des salaires, mettre en œuvre efficacement le programme de relance et de développement socio-économique, et d'autres pour assurer le bien-être social.
Pour les objectifs établis, ils ont proposé des mesures visant à éliminer les difficultés des entreprises dans la production et les affaires, à stabiliser les prix des produits, en particulier les biens essentiels comme le pétrole, à maintenir stables le marché des capitaux, les obligations des entreprises et le marché immobilier et du travail, améliorer les dépenses en capital d'investissement public, en particulier pour les projets faisant partie des programmes d'objectifs nationaux.
Comme prévu, le 31 octobre, l'Assemblée nationale entendra et débattra d'un rapport sur la mise en œuvre des politiques et des lois d'épargne et de lutte contre le gaspillage pour la période 2016 - 2021.