La veille, l’AIEA avait confirmé qu’un réacteur d’ici avait été touché par une frappe aérienne, sans qu’aucune conséquence radioactive ne soit enregistrée.
Cette évolution a multiplié les inquiétudes dans la région face au risque de fuites radioactives, dans un contexte d’escalade continu du conflit israélo-iranien.
Le jeudi également, le Premier ministre irakien Mohammed Shia’al-Sudani a ordonné aux agences compétentes de surveiller de près ce risque.
Selon son cabinet, les experts n’ont relevé aucune anomalie dans les niveaux de radiation en Irak, mais des équipes d’intervention ont été déployées par mesure de précaution.