150 délégués, dont des experts venant de 14 pays, ont participé en présentiel et en distanciel.
Les participants ont débattu de la nature des activités hybrides et de la « zone grise » dans la région et en Mer Orientale en particulier, qui entravent l’ordre en mer et contreviennent au droit international.
Le développement fulgurant de la technologie aggrave ces défis, non seulement sur place mais également dans divers secteurs, tels que l’économie et l’information.
Les participants ont lancé des propositions permettant de mieux résoudre ces défis, en insistant sur la primauté du droit international et la coopération entre les États.