Lors d’une conférence de presse donnée mercredi au siège du Parlement, il a en effet annoncé qu’il allait renoncer à son ambition de «changer la politique», selon ses propres mots, et de «rassembler la nation».
Selon lui, son patriotisme et ses aspirations en ce sens sont souillés par des calomnies et de fausses rumeurs, et cela a laissé de grandes cicatrices dans son honneur d’être à la tête de l’ONU pendant ces dix dernières années.
Agé de 72 ans, l’ancien ministre des Affaires étrangères a aussi demandé la compréhension des Sud-Coréens pour sa décision.