Le Président français y réaffirme notamment sa foi en une Europe capable de transformer le monde, dont la France serait un moteur, espérant que son élection marque «le début d'une renaissance française et européenne».
Pour lui, face à la montée des extrêmes et des régimes autoritaires, face aux inégalités qui s'aggravent dans le monde, c'est à l'Europe de «gagner la bataille» pour «préserver la liberté et la démocratie, assurer la justice sociale et protéger notre planète».
Mais Emmanuel Macron a aussi critiqué «certains dirigeants européens qui tournent le dos à l’Europe», avec «une approche cynique de l’Union qui servirait à dépenser les crédits sans respecter les valeurs». «L’Europe n’est pas un supermarché. L’Europe est un destin commun», a-t-il souligné.