Selon la même source, six missiles ou bombes de forte puissance auraient visé le bâtiment accueillant une réunion du Conseil suprême de sécurité nationale iranien, avec l’objectif de détruire les issues de secours.
C’est lors de sa tentative d’évacuation par une sortie d’urgence que le président Pezeshkian aurait été blessé.
Il s’agit de la première confirmation officielle de la part de Téhéran concernant une atteinte physique à un haut dirigeant politique durant les récentes frappes israéliennes.
Auparavant, l’Iran avait seulement évoqué la mort de plusieurs hauts gradés militaires et de scientifiques du nucléaire.
Israël n’a, pour l’heure, fait aucun commentaire sur ces allégations.
Toutefois, dans une déclaration connexe, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé que tout accord entre les États-Unis et l’Iran devait être conditionné à trois engagements : l’arrêt de l’enrichissement d’uranium, l’abandon du développement de missiles balistiques et la fin du soutien au terrorisme.