C’est ce qu’a déclaré mardi la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, alors que le compromis conclu vendredi soir continue à susciter de nombreuses critiques en France et en Europe.
Intervenant en début d’après-midi devant l’Assemblée nationale, le ministre des affaires étrangères Jean-Yves le Drian a ajouté que la France a défini des lignes rouges fermes sur des dispositions que cet accord devra contenir, faute de quoi elle ne l’acceptera pas.