Cet évènement a vu la présence de Kanni Wignaraja, assistante du secrétaire général des Nations Unies et du directeur général du PNUD et directrice du département Asie-Pacifique du PNUD, ainsi que 23 ambassadeurs, chefs et chefs adjoints de délégation des pays de la région.
L’ambassadeur Dang Hoang Giang, chef de la Mission permanente du Vietnam auprès de l’ONU, a été invité à être son conférencier principal.
Il a fait part de ses inquiétudes quant à la mise en œuvre des objectifs de développement durable dans la région Asie-Pacifique en raison de l'impact de la récente crise multidimensionnelle.
Nous avons donc besoin d’une nouvelle approche et de mesures réalisables dans les temps à venir, a-t-il souligné.
En partageant les expériences de son pays en matière de résilience au changement climatique et de transition énergétique verte, il a déclaré qu’il s’agissait d’une nécessité pour le développement durable.
Un engagement fort en faveur de la réponse climatique doit provenir d'une vision à long terme et d'une gouvernance centralisée sur les gens, a ajouté le représentant vietnamien.
Il a aussi souligné la nécessité de renforcer la coopération internationale afin de mobiliser des financements et de transférer des technologies, améliorer les capacités, alléger les impacts du changement climatique et garantir l’égalité et la justice.
L’assistante du directeur général du PNUD s'est félicité de la politique et de l'engagement constants du Vietnam en matière de changement climatique en général et de transition énergétique en particulier.
Lors de la sessions de dialogue, les délégués ont convenu que les défis mondiaux tels que les épidémies, les conflits, les crises économiques et les crises alimentaires et énergétiques avaient gravement affecté la mise en œuvre des Objectifs de développement durable, la reprise économique et la réponse au changement climatique dans la région.
Ils ont également discuté des défis et des mesures visant à promouvoir l'action pour le climat et la transition énergétique dans le contexte où le monde doit répondre simultanément à des risques urgents, pour réaliser les objectifs de développement durable.