Le dirigeant a rappelé que cette prise en charge représentait une responsabilité morale et un critère de civilisation moderne, indispensable au développement durable. Il a fixé plusieurs priorités:
“Il faut changer les mentalités et combattre les préjugés. Nous appelons le secteur privé, les organisations sociales et toute la communauté à se mobiliser concrètement: en offrant des emplois adaptés, en ouvrant des centres de réadaptation de proximité et en garantissant un accompagnement médical permanent”, a-t-il déclaré.
Les organismes compétents doivent élaborer un plan d’action précis pour le deuxième trimestre 2026. L’objectif: améliorer la qualité de vie de plus de 7 millions de personnes handicapées dans le pays.