Vers un accord sur le contrôle des logiciels espions et des pirates informatiques mercenaires

Un certain nombre de pays conduits par le Royaume-Uni, la France et les États-Unis, ainsi que des entreprises technologiques telles que Google, Microsoft et Meta, ont signé mardi 6 février une déclaration commune reconnaissant la nécessité de prendre davantage de mesures pour lutter contre l’utilisation malveillante d’outils de cyber-espionnage.
Photo d'illustration: VNA.
Photo d'illustration: VNA.

La déclaration a été signée par 35 pays, lors d’une conférence organisée par le Royaume-Uni et la France, pour lutter contre la disponibilité et l’utilisation croissantes de logiciels espions permettant d’écouter des appels téléphoniques, de voler des photos et de commander à distance des caméras et des microphones.

La déclaration appelle les signataires à utiliser ces outils de manière légale et responsable, à les utiliser avec précision, à renforcer la surveillance et à créer plus de transparence avec les fournisseurs de logiciels espions commerciaux.

VOV/NDEL