Sur son compte Twitter, Mohamed Azmin Ali a écrit : « Je suis fier du fait que les grandes sociétés malaisiennes ont investi au Vietnam et qu’elles ont contribué au développement socioéconomique de ce pays en créant de nouveaux emplois ».
Selon lui, malgré la pandémie de Covid-19, un taux élevé de couverture vaccinale a permis au Vietnam et à la Malaisie de passer à une nouvelle période où le Covid-19 sera considéré comme une « maladie endémique », c’est-à-dire une maladie infectieuse présente de façon latente ou en permanence, à l’instar de la grippe. Cela leur permettra de rouvrir leurs frontières et de reprendre leurs activités commerciales.
« Avec l’entrée en vigueur du Partenariat économique régional global (RCEP), j’encourage les entreprises vietnamiennes à tirer parti des opportunités offertes par les marchés membres de cet accord, car cela leur apportera des sources d’approvisionnement en matières premières à des coûts compétitifs », a-t-il suggéré.
À propos de sa rencontre avec des entreprises vietnamiennes, Mohamed Azmin Ali a constaté que ses discussions avec elles étaient fructueuses et constructives. « Elles ont franchement partagé leurs avis et leurs propositions. Elles sont contentes de la réouverture des frontières des deux pays qui accélérera le rétablissement économique et les échanges entre les peuples après deux ans de fermeture ».
« Le groupe vietnamien GAMI s’intéresse aux possibilités de coopération avec des sociétés malaisiennes dans le développement des véhicules électriques. De plus, la compagnie aérienne VietJet est prête à reprendre ses vols vers Kuala Lumpur. En effet, la ligne aérienne reliant le Vietnam et la Malaisie sera rouverte à partir du 1er avril », a-t-il fait savoir.
