Vers un accord sur le contrôle des logiciels espions et des pirates informatiques mercenaires
Un certain nombre de pays conduits par le Royaume-Uni, la France et les États-Unis, ainsi que des entreprises technologiques telles que Google, Microsoft et Meta, ont signé mardi 6 février une déclaration commune reconnaissant la nécessité de prendre davantage de mesures pour lutter contre l’utilisation malveillante d’outils de cyber-espionnage.