Renforcement des relations dans les activités extérieures

Le 23 février, Lê Hoai Trung, président de la Commission des relations extérieures du Comité central du Parti communiste du Vietnam a eu une réunion avec les chefs d’organes de représentation du Vietnam à l’étranger, nommés en 2022, pour le mandat de 2023-2026.
Lê Hoai Trung, président de la Commission des relations extérieures du Comité central du Parti communiste du Vietnam lors d'une réunion avec les chefs d’organes de représentation du Vietnam à l’étranger. Photo: BQT
Lê Hoai Trung, président de la Commission des relations extérieures du Comité central du Parti communiste du Vietnam lors d'une réunion avec les chefs d’organes de représentation du Vietnam à l’étranger. Photo: BQT

Le vice-ministre des Affaires étrangères Pham Quang Hieu y a participé.

Lê Hoài Trung a déclaré que la période 2023-2026 était importante pour réaliser les objectifs du XIIIe Congrès national du Parti jusqu’en 2025, créant une dynamique favorable à la mise en œuvre des objectifs stratégiques du pays d’ici 2030, avec une vision à l’horizon 2045.

Selon lui, les affaires extérieures jouent un rôle très important.

Le 13e Congrès du Parti communiste du Vietnam (PCV) a déterminé le rôle pionnier de la diplomatie dans l’établissement et la préservation d’un environnement de paix, de stabilité, ainsi que dans la mobilisation des ressources externes au service du développement national et du rehaussement de la position et du prestige du pays sur la scène internationale, ainsi que pour la construction d’une diplomatie globale et moderne basée sur trois piliers que sont les affaires extérieures du Parti, la diplomatie de l’État et la diplomatie populaire, a-t-il déclaré.

Il a indiqué que les chefs d’organes de représentation du Vietnam à l’étranger jouaient un rôle très important. Ils représentent notre Parti, l’État et le peuple à l’étranger, a-t-il affirmé.

Ils doivent non seulement remplir leurs tâches politiques, mais aussi montrer la position et l’identité de leur pays et de leur peuple, a-t-il souligné.

Par conséquent, afin de mener à bien leurs tâches confiées par le Parti et l’État, les chefs d’organes de représentation du Vietnam à l’étranger doivent maintenir leur conscience politique et maîtriser fermement et appliquer de manière créative les politiques extérieures du Parti et de l’État, a-t-il ajouté.

La résolution 34 du Bureau politique afin de mettre en œuvre la politique extérieure adoptée lors du 13e Congrès du Parti a également souligné : « Mettre en œuvre de manière synchrone, créative et efficace des activités extérieures sur trois piliers. Valoriser le rôle et la force spécifiques de chaque pilier, les acteurs et les forces impliquées dans les affaires extérieures, en garantissant les intérêts de la nation. »

La diplomatie du Parti joue notamment un rôle central dans l’orientation stratégique des activités extérieures, contribuant ainsi à la consolidation de la base politique et créant des conditions favorables au renforcement des relations entre le Vietnam et les autres pays.

La diplomatie d’État joue aussi un rôle central dans l’institutionnalisation et l’organisation de la mise en œuvre effective des orientations du Parti.

La diplomatie populaire joue un rôle important dans la promotion de l’amitié et de la coopération entre le peuple vietnamien et les autres peuples, créant une base sociale positive et favorable pour les relations entre le Vietnam et les autres pays et soutenant activement la diplomatie du Parti et de l’État.

Lê Hoài Trung a exprimé son espoir que les chefs d’organes de représentation du Vietnam à l’étranger renforceraient leur coordination et leur solidarité et favoriseraient la force des trois piliers des relations extérieures dans l’organisation de la mise en œuvre de leurs missions.

Il a également indiqué que ces dernières années, les relations entre la Commission des relations extérieures du Comité central du Parti communiste du Vietnam et le ministère des Affaires étrangères, dont les organes de représentation du Vietnam à l’étranger, sont devenues de plus en plus étroites, notamment depuis qu’ils ont signé le Règlement sur la coordination de travail en 2016.