Réunissant une centaine de représentants venus de plusieurs offices des Nations Unies, ministères, branches, secteurs, organisations internationales et sociétés civiles, ce programme a été lancé par l’Entité des Nations Unies pour l’Égalité des sexes et l’Autonomisation des femmes (UN Women), le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Bureau des Nations Unies sur les Drogues et la Criminalité (UNODC).
Cet événement a enregistré la présence de la représentante en chef de l’UNFPA au Vietnam, Astrid Bant, de la responsable du bureau de l’UN Women au Vietnam, Elisa Fernandez, et de la directrice adjointe du Département pour l’Égalité des sexes du Ministère vietnamien du Travail, des Invalides de guerre et des Affaires sociales, Hoàng Thi Thu Huyên.
Cette réunion a déterminé les services indispensables dans divers domaines, tels que le soin sanitaire, les services sociaux, la justice et la garantie de la sécurité ; et également introduit la collaboration mutuelle dans la mise en œuvre de ces services. Il s’agit d’un programme global avec l’assistance des gouvernements australien et espagnol.
Elisa Fernandez, chef du Bureau de l'UN Women au Vietnam. Photo: Minh Duy/NDEL.
Prenant la parole lors de la cérémonie, la responsable du bureau de l’UN Women au Vietnam, Elisa Fernandez a déclaré que la violence à l’égard des femmes et des filles était estimée en tant qu’une question systémique d’origine culturelle. C'est donc pourquoi le processus de lutte contre cette question exige la coordination de toute la communauté sociale. Une enquête nationale sur la violence conjugale chez les femmes vietnamiennes, publiée en 2010, a montré que 58% des femmes mariées connaissent au moins une forme de violence dans leur vie. Il y a maintenant 17% des femmes et filles victimes de violences qui n’ont pas encore l’occasion d'accéder aux services de soutien. En outre, cette institution mondiale a pris en haute considération les politiques du Vietnam en la matière au cours de ces derniers temps. Notamment, il nécessite d’intensifier davantage les affaires de propagande, d’assistance et d’investissement aux niveaux municipal, provincial et des districts.
Les services indispensables pour les femmes et les filles victimes de violences comprennent (1) la vue d’ensemble et l’introduction ; (2) les services essentiels de santé ; (3) les services essentiels de justice et de surveillance ; (4) les services essentiels de société ; (5) les actions essentielles pour la coordination et la gestion ; et (6) la conduction de mise en œuvre.
Les représentants prennent la photo souvenir. Photo: Minh Duy/NDEL.