Cela fait partie du plan de réfection de cette relique centenaire.
Situé au sein de la Cité Pourpre de Huê, le Palais des audiences Cân Chanh a été construit en 1804 sous le règne de Gia Long.
Depuis plus d’un mois, les experts ont creusé de nombreux trous sur une superficie totale de plus de 200 m2.
Les experts ont creusé de nombreux trous sur une superficie totale de plus de 200 m2. Photo: VOV |
Ils ont découvert de nombreux morceaux de vaisselle et briques, entre autres. Les fosses ont également révélé de nombreuses traces de la fondation du palais de Can Chanh
Le Musée national d’histoire du Vietnam et le Centre de conservation des vestiges de l’ancienne cité impériale de Huê continuent de collecter des images et des documents liés au palais de Can Chanh à partir de nombreuses sources d’archives, dont des photos documentaires prises par les Français avant la démolition du bâtiment.
En 1947, la guerre a complètement détruit ce monument, ne laissant que les fondations. Photo: VOV |
Les experts éditent, étudient et publieront les premiers résultats archéologiques d’ici la fin du mois d’août.
Le palais de Cân Chanh a été construit il y a près de 220 ans, la troisième année du règne du roi Gia Long (1804).
Il possède la plus grande et la plus belle structure en bois de la Cité interdite.
C’est l’un des ouvrages principaux et les plus importants à l’intérieur du Royal Palais, où le roi de la dynastie Nguyen organisait des réunions avec les mandarins, les banquets de la famille royale et recevait des ambassadeurs.
Le palais de Cân Chanh a été construit il y a près de 220 ans, la troisième année du règne du roi Gia Long (1804). Photo: VOV |
Le palais a été restauré en 1827, 1850 et 1899. Le roi Khai Dinh a ordonné une nouvelle peinture au début du XXe siècle. En 1947, la guerre a complètement détruit ce monument, ne laissant que les fondations.
Actuellement, le Centre de conservation des vestiges de l’ancienne cité impériale de Huê coopère avec une vingtaine d’organisations internationales et non gouvernementales qui lui ont accordé une assistance financière, technique et humaine pour la restauration de l’ancienne Cité impériale qui a été reconnue patrimoine culturel mondial par l’UNESCO en 1993.