À cette occasion, il a appelé l’institution à mettre en œuvre cinq orientations, afin d’en faire le pilier de l’économie et de la société fondées sur les données.
Le Centre est également appelé à jouer un rôle de «cerveau» au service de la direction et de la gouvernance du Parti et de l’État, ainsi que de l’ensemble des activités socio-économiques, a-t-il souligné.
“Il est nécessaire d’accélérer la création, la mise en réseau et l’exploitation des données afin d’en accroître la valeur. Une base de données nationale intégrée, reliant les principaux entrepôts de données, devra être mise en place d’ici le premier trimestre 2026. Les données devront répondre à des critères stricts de fiabilité, de qualité, de cohérence et de partage, afin de mettre fin à la fragmentation actuelle. Parallèlement, leur exploitation devra permettre le déploiement du Portail national des services publics, conçu comme un guichet unique sur la plateforme du Centre national de données, pour offrir des services publics en ligne plus efficaces aux citoyens et aux entreprises”, a-t-il dit.
Le secrétaire général a également exhorté le Centre national de données n° 1 à renforcer la recherche et la maîtrise des technologies clés, telles que le cloud computing, l’intelligence artificielle, la blockchain et les plateformes de données partagées, dans le but de consolider l’autonomie technologique du pays et de réduire sa dépendance à l’égard de l’étranger.
