Outre la peine de prison ferme, il a écopé d’une peine complémentaire de résidence surveillée de trois ans à compter de sa libération.
Le procès en première instance à son encontre s’est tenu le 12 mai à Ho Chi Minh-Ville.
De 2016 à mai 2021, Tran Van Bang avait utilisé trois comptes Facebook pour rédiger et publier 39 articles au contenu de propagande, diffamant le pouvoir populaire, diffusant de fausses informations pour semer la confusion parmi les gens, appelant au boycott des élections législatives… Il possédait en outre de nombreux documents et livres, dont quatre documents avec des contenus contre l'État de la République socialiste du Vietnam, sapant le grand bloc d'union nationale, incitant à la violence et à l’hostilité, insultant des dirigeants et des héros nationaux…