Il mise sur les marchés traditionnels les plus demandeurs tels que le Japon, Taiwan (Chine) et la République de Corée, et recherche des opportunités dans certains pays européens et à Singapour, où les conditions de travail sont bonnes et les revenus stables.
L’Australie et Israël ont déjà fait part de leur volonté d’accueillir des travailleurs vietnamiens en leur promettant des revenus élevés.
Selon Nguyên Gia Liêm, chef adjoint du Département de Gestion des travailleurs à l’étranger au ministère vietnamien du Travail, des Invalides et des Affaires sociales, pour améliorer la qualité de la main d’œuvre envoyée à l’étranger, il faudrait établir des liens solides entre les entreprises spécialisées dans ces envois et les établissements d’éducation professionnelle.
“L’envoi de travailleurs à l’étranger ne vise pas seulement à créer des emplois, mais aussi à améliorer le niveau professionnel de nos travailleurs. Nous espérons qu’après des années de travail à l’étranger, ils auront acquis des compétences, des connaissances et des expériences utiles au développement national. Nous avons proposé aux autorités compétentes d’élaborer une politique d’aide à l’amélioration de la qualité de cette main d’œuvre et de mettre en place des mesures pour la soutenir avant, pendant et après les séjours à l’étranger. Le but est de garantir que les travailleurs rapatriés pourront valoriser les savoir-faire qu’ils auront acquis", a-t-il indiqué.