Lors de cette rencontre, Søren Kofoed Jensen, directeur régional en charge des investissements pour l’Asie et le Moyen-Orient chez Maersk, a présenté la vision, la stratégie mondiale ainsi que les activités du groupe au Vietnam.
La direction de Maersk a salué le potentiel de croissance et les résultats économiques remarquables obtenus par le gouvernement vietnamien, notamment dans le secteur financier, tout en exprimant le souhait d’accroître ses investissements sur ce marché prometteur.
« Le Vietnam est un marché dynamique doté d’un potentiel considérable. Maersk s’engage à accompagner le développement d’un système logistique et d’infrastructures vertes et modernes », a affirmé le représentant du groupe.
Implantée au Vietnam depuis 1991, Maersk compte aujourd’hui plus de 1 600 employés sur l’ensemble du territoire. Elle fut la première entreprise de logistique à capitaux 100 % étrangers à s’établir dans le pays.
Outre ses services principaux - transport domestique, maritime, aérien, entreposage et activités de commissionnaire en douane -, le groupe poursuit ses investissements dans des solutions logistiques avancées, intégrées, permettant de connecter les chaînes d’approvisionnement nationales et internationales de bout en bout.
Le vice-ministre Do Thanh Trung a salué les capacités, l’expérience et la réputation mondiale de Maersk, tout en exprimant le souhait que le groupe partage ses technologies et son expertise en matière de gestion moderne afin d’accompagner le Vietnam dans le processus de modernisation de son secteur logistique.
Il a souligné que la coopération avec Maersk offrirait aux entreprises vietnamiennes davantage de possibilités d’intégration aux chaînes de valeur mondiales, dans une perspective verte, propre et circulaire, associée à la réduction des coûts, à l’automatisation et à la numérisation.
Il a également affirmé que le Vietnam s’efforçait de développer de manière cohérente ses infrastructures, avec une priorité accordée au réseau routier et aux télécommunications ; dans les cinq prochaines années, l’accent sera mis sur le ferroviaire, les corridors Est-Ouest et l’élargissement de l’autoroute Nord-Sud, afin de mieux répondre aux attentes des investisseurs internationaux.