Lors de l’événement, le chef adjoint du Département des affaires extérieures du ministère vietnamien de la Police et chef du comité de pilotage de l’ASEAN-ACT au Vietnam, Nguyên Minh Hiêu, et la directrice régionale de l’ASEAN-ACT, Lucia Pietropaoli, se sont mis d’accord sur la nécessité de la collecte, de l’utilisation et de la préservation des preuves numériques dans les enquêtes sur la criminalité transnationale en général et sur la traite des êtres humains en particulier, notamment dans le contexte de la révolution industrielle 4.0 et de la pandémie de COVID-19.
La conférence a eu lieu avec quatre séances durant lesquelles 14 intervenants vietnamiens et étrangers ont fait des représentations sur les liens entre la traite des êtres humains, les technologies et les données numériques, le web clandestin, la protection des victimes et les difficultés rencontrées dans cette lutte.
Les suggestions des participants seront transmises aux organismes compétents vietnamiens pour servir au perfectionnement de la Loi amendée sur la traite des êtres humains.