Les articles sont principales des effigies, des papiers votifs, des chevaux, des éléphants. Des grands articles comme des maisons, des voitures ne sont plus beaucoup fabriqués.

Différentes d’autres villages de production de métier des papiers votifs, le village de Phuc Am est spécialisé dans la production des effigies des chevaux, des maisons, des voitures, des éléphants, ect. pour des pratiquants de culte aux temples.
Cependant, des habitants du village de Phuc Am ont confié que leur production des produits en papier votif de grande taille a la tendance à diminuer au cours de ces dernières années.
Récemment, le Comité central de l’Église bouddhique du Vietnam (EBV) a proposé la limitation du brûlage des papiers votifs aux bouddhistes dans les pagodes, car la pratique du brûlage des objets votifs en papier ne figure nulle part dans les principes spirituels inculqués par Bouddha. Les autorités locales ont également encouragé des habitants à limiter cette pratique pour éliminer ce rituel superstitieux. La production des objets en papiers votifs du village a ainsi diminué, a partagé Mme Hoan, propriétaire d’un atelier de production des objets en papier votifs.
« Actuellement, nous ne produisons que des petits articles comme des efficients, des vêtements pour des Thanh dông (médiums) pour leur pratique rituel « hâu dông », a partagé Mme Minh, propriétaire d’un atelier de production des objets en papier votif.
Cette année, le prix des articles en papier votifs ne fluctue pas beaucoup. Un effigient des mandarins coûte environ de 200 000 - 300 000 dôngs.
Au village de Phuc Am, il reste seulement près de 10 foyers produisant des efficients des chevaux et des éléphantes. Selon eux, ils ne les font que suivant les commandes.
En février 2018, le Comité central de l’Église bouddhique du Vietnam (EBV) a publié la circulaire N°31 qui demande aux fidèles d’abandonner la pratique de brûler des papiers votifs dans les établissements religieux bouddhiques. L’État encourage des habitants à limiter le brûlage des objets en papier votif pour abandonner le rituel superstitieux. Cependant, on brûle toujours des papiers votifs à l’occasion des fêtes.
(Photo : NDEL)