Selon le rapport, chaque année, le Service de la Justice de Nghe An publie des plans, diffuse et éduque le public sur la loi.
En particulier, Il se concentre sur la mise en œuvre de la diffusion de la loi, de la sensibilisation des minorités ethniques vivant dans la zone frontalière entre le Vietnam et le Laos sur le respect de la loi.
Les contenus propagés et diffusés sont des documents juridiques liés aux politiques sur l'ethnicité, la nationalité, le soutien au développement, l'amélioration de la vie matérielle et intellectuelle des gens, ainsi que des documents liés à la prévention du crime.
Les diverses formes de sensibilisation aident les gens à les comprendre, à les mettre en œuvre et à les respecter, en particulier les Vietnamiens d’origine laotienne.
Le travail sur l'état civil et la nationalité et la résolution du problème des migrants libres et des mariages illégitimes dans les zones frontalières des deux pays ont été efficacement mis en oeuvre.
De 2019 à 2021, les districts frontaliers se sont coordonnés avec le Service de la Justice pour mener des procédures visant à demander au Président de naturaliser 201 Laotiens, conformément à la réglementation.
Sous l'autorisation du président de la République, le Comité populaire de Nghe An et le Service de la Justice ont conjointement organisé une cérémonie pour remettre sa décision à 201 Laotiens qui se sont naturalisés vietnamiens.
Cet événement marque une étape importante pour chaque individu en particulier et pour les autorités du Vietnam et du Laos en général, protégeant les droits et intérêts légitimes des migrants libres et des mariages sans papiers dans la zone frontalière entre le Vietnam et le Laos.
En même temps, il a créé des conditions favorables pour que ces gens stabilisent leur vie et s'intègrent dans la vie économique, culturelle et sociale et une base pour maintenir la stabilité politique et la sécurité et la défense nationales dans les zones frontalières.
Lors du colloque, les deux provinces ont exprimé leur volonté de continuer à renforcer leur coopération judiciaire, à se coordonner avec les agences compétentes pour proposer des solutions visant à limiter la libre migration et les mariages illégaux dans la région.