Le traité, qui doit être adopté lundi prochain, a été passé au crible des services juridiques et traduit pour être disponible dans les six langues officielles de l’ONU.
« C’est un moment historique», a déclaré Minna Epps, de l’Union internationale pour la protection de la nature (UICN), même s’il est absolument affligeant que cela ait pris si longtemps. L’humanité compte sur l’océan. Mais est-ce que l’océan peut compter sur nous », a lancé il y a quelques jours le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, appelant à agir pour protéger ce «fondement même de la vie» sur Terre.