Une attention particulière sera accordée à la prévention de la dégradation des vestiges historiques et culturelles, a-t-il noté.
Les solutions comprennent l'anti-inondation dans le vieux quartier ; la prévention de l'érosion et des glissements de terrain ; l’embellissement de la rue ; la conservation des anciens vestiges et des valeurs culturelles intangibles ; et la planification des zones urbaines dans la zone du patrimoine et le développement du village artisanal ; et les ressources pour la conservation.
Les mesures seront mises en œuvre de manière synchrone dans le but de préserver la vielle ville de Hôi An et de protéger ses valeurs exceptionnelles mondiales ainsi que les architectures et les paysages existants, a souligné Pham Phu Ngoc.
Après que Hôi An ait été reconnu comme un site du patrimoine mondial par l'UNESCO en 1999, le centre a financé plus de 152 milliards de dôngs (équivalent à 6,53 millions de dollars) pour réparer et protéger les reliques en ruine, a-t-il ajouté.
En plus du financement de l'État et des organisations internationales, les dépenses de conservation provenaient de la vente de billets, qui a atteint environ 300 milliards de dôngs en 2019. Cependant, les recettes de cette année pourraient fortement diminuer en raison de l'impact de l'épidémie de COVID-19.
La ville de Hôi An abrite actuellement 1 432 vestiges, dont près de 1 360 doivent être protégés.