La réunion a adopté une Déclaration politique sur ce Plan d’action afin de réaffirmer les engagements de mettre fin à ce crime que prennent les États membres et de placer les victimes au centre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
Dans son discours d’ouverture, le président de l’Assemblée générale, Miroslav Lajčák, a souligné que la volonté de lutter contre la traite des êtres humains devrait se transformer en actions.
Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a éprouvé son inquiétude à l’égard de la situation critique des dizaines de millions de personnes victimes du travail forcé, de l’asservissement et du recrutement d'enfants soldats.
Les représentants se sont mis d’accord que la traite des personnes est un crime à l’échelle mondiale et une violation des droits de l’homme. Ils sont parvenus à appliquer une approche axée sur les victimes pour résoudre le problème.
L’ambassadrice Nguyên Phuong Nga, cheffe de la Mission permanente du Vietnam à l’ONU, a tenu en haute estime l’adoption de la Déclaration politique sur l’application du Plan d’action mondial pour la lutte contre la traite des personnes. Elle a insisté sur le fait que la traite était un crime, une violation des droits de l’homme et de la dignité humaine, posant de graves défis à la paix, à la sécurité et au développement.
Elle a affirmé que le Vietnam s’est engagé à coopérer étroitement avec l’ONU et ses partenaires dans la réalisation de la Déclaration politique sur la lutte contre la traite des êtres humains.