Il a fait cette demande lors d’une réunion, le 23 février, avec le Centre de conservation du patrimoine Thang Long-Hanoï et les départements et secteurs concernés au sujet des projets de conservation de la cité impériale de Thang Long et de l’ancienne citadelle de Co Loa.
Vuong Dinh Hue a demandé aux responsables concernés d’analyser les éventuels obstacles aux travaux de conservation.
Selon lui, la zone centrale de la cité impériale de Thang Long et du site historique de Co Loa est considérée comme des atouts précieux de Hanoï.
Depuis que la cité impériale de Thang Long a été honorée en tant que patrimoine culturel mondial, Hanoï a mis en œuvre 7 des 8 engagements envers l’UNESCO, tels que faire connaître largement le patrimoine au public, en particulier parmi les jeunes ainsi que l’expansion de la recherche archéologique et l’élaboration d’un plan d’exploitation et de gestion à long terme du patrimoine. Cependant, la plupart des projets de restauration des reliques n’ont pas encore été déployés.
Vuong Dinh Hue a mentionné la reconstruction du palais de Kinh Thien de la cité impériale de Thang Long comme une tâche majeure, dans les temps à venir.
Il a également souligné l’importance d’unifier la gestion des reliques conformément à l’engagement conclu avec le Comité du patrimoine mondial.
Selon le vice-ministre de la Culture, des Sports et du Tourisme, Hoang Dao Cuong, la restauration du palais de Kinh Thien est très importante, cependant, il faudra d’abord effectuer une recherche architecturale minutieuse avant de mettre en œuvre d’autres étapes de restauration.
Le professeur Luu Tran Tieu, président du Conseil national du patrimoine culturel, donne l’exemple de l’ancienne capitale de Hue en tant qu’architecture royale, qui peut servir de référence pour la restauration du palais Kinh Thien.
Le président du Comité populaire de la ville Chu Ngoc Anh, d’autres dirigeants de Hanoï ainsi que le représentant de l’UNESCO au Vietnam, Michael Croft, ont participé à la réunion.